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il y a 4 ans
Initiation à la sodomie et à la soumission d’une soumise qui prend cher
Je me prénomme Virginie. J’ai 30 ans. Je suis cadre RH dans une grande entreprise et je suis mariée avec Stéphane, 35 ans, ingénieur en informatique. Il y a quelque temps, à bord du train de Paris, j’étais seule dans le compartiment et même dans le wagon. En revenant des toilettes, j’ai vu le bout d’une revue coincée entre la banquette et la paroi du wagon. Comme je n’avais rien à lire, j’ai pris cette revue pour voir ce que c’était. Il s’agissait d’un magazine érotique. Je suis retournée à mon compartiment et me suis mise à lire. Très vite, je me suis sentie à la fois gênée et excitée par les confessions que je lisais. À un moment, je me suis rendu compte que j’avais une main glissée dans ma culotte et que mon sexe était plus trempé que jamais. Aussitôt, j’ai retiré ma main et j’ai refermé les jambes, honteuse de découvrir mon excitation et effrayée qu’on ait pu me voir dans de si inavouables activités.
J’ai fermé la revue, mais j’ai compris que cette honte m’excitait encore plus ! Très vite, je me suis retrouvée les cuisses ouvertes, une main tenant la revue, l’autre au fond de ma culotte pour apaiser le feu qui brûlait dans mon ventre. J’ai explosé très rapidement. Jamais je n’avais connu un tel plaisir. J’étais déchaînée. Même dans mon a d o l e s c e n c e , je ne m’étais jamais fait jouir comme cela.
De retour à la maison, j’ai tout raconté à Stéphane et il m’a demandé de lui montrer votre revue. Puis, il s’est mis à lire les lettres. Au fur et à mesure de la lecture, je voyais la bite de mon chéri durcir et grossir. Avant même de pouvoir lire la quatrième lettre, il m’a culbutée et m’a prise comme aux premiers temps de notre relation. Puis, il a continué à lire les courriers et bientôt, il a recommencé à bander. Je me suis agenouillée devant lui et j’ai commencé à le sucer pendant qu’il lisait tout haut. Je prenais vraiment du plaisir à sucer sa bite. Quand pour la première fois il s’est répandu dans ma bouche, cela m’a fait tout drôle, mais j’ai avalé sa semence.
Nous avons continué à acheter cette revue et j’ai fini par lui avouer que j’adorais surtout les lettres de soumission… Nous avons commencé à faire des jeux de soumission entre nous. Stéphane me donnait des tâches à exécuter et s’il n’était pas satisfait, il m’attachait les bras dans le dos et m’obligeait à le sucer.
Parfois, je devais baisser ma culotte et Stéphane m’allongeait en travers de ses genoux. Il se mettait aussitôt à me claquer les fesses de sa main puissante. J’avais honte, car souvent je sentais mon sexe qui était humide. Puis, il m’envoyait au coin. C’est-à-dire à genoux, face au mur et les mains sur la tête. Quand la crise était passée, il me baisait et je dois reconnaître que c’était encore meilleur après une bonne correction. Désormais, le cérémonial de la fessée fait partie de nos habitudes. En fait, je prends presque autant de fessées que je me fais baiser !
Il y a quelque temps, Stéphane m’a trouvé un Maître sévère, afin de parfaire mon éducation : Monsieur Xavier. Nous l’avons rencontré pour la première fois dans un café. Il voulait me faire venir le week-end suivant chez lui, à la campagne. Mon mari a répondu « OK ». Je me suis tournée vers lui, paniquée, mais il m’a interrompue directement : « J’ai dit que c’était d’accord. Point. » Xavier m’a regardée et a répondu : « C’est d’accord, mais tu seras punie pour avoir essayé de donner ton avis. » J’ai rougi et répondu : « Oui. – Oui qui ? – Oui, Monsieur Xavier. »
Je lui ai fourni une liste des choses qui m’attiraient. Mais sans même la regarder, il a sorti son briquet et a mis le feu à la feuille. « Je me fous complètement de ce dont tu as envie ou pas, tu seras ma soumise et tu feras ce que je veux. Tu subiras mes désirs. C’est clair ? – Oui Monsieur. » Il m’a sorti ça les yeux dans les yeux et j’ai instantanément senti mes muscles vaginaux se contracter de plaisir. Il m’a ensuite ordonné d’enlever ma culotte et de lui la donner. Je me suis levée pour aller aux toilettes, mais il a précisé : « Non, enlève-la ici. » J’étais mal à l’aise, mais l’emprise qu’il exerçait déjà sur moi m’empêchait de me rebeller. Tout en essayant d’être discrète, j’ai fait glisser ma culotte et lui ai tendue. Il l’a humée et l’a fait sentir à Stéphane, puis il a dit : « Tu sens la femelle. Ça t’excite de te faire dresser ? » J’ai répondu oui. Il a fixé le rendez-vous au vendredi soir, 18 heures. J’ai indiqué que c’était trop tôt à cause de mon travail. « Ce ne sont pas mes affaires et chaque minute de retard sera punie », a-t-il répliqué. Puis il est parti.
À la maison, j’ai eu droit à une fessée de la part de Stéphane comme punition pour avoir voulu décider à sa place. D’autre part, il m’a fait savoir que le week-end suivant, il irait chez des amis de Xavier afin de parfaire son rôle de Maître avec moi.
À l’heure dite, un petit véhicule s’est arrêté à ma hauteur. La porte latérale, s’est ouverte et un homme m’a fait signe de monter. Il m’a fait asseoir dos à la paroi de la camionnette et m’a mis un bandeau sur les yeux et il m’a muselée avec un bâillon-boule. Au début, j’ai trouvé cela désagréable. Je bavais et ne contrôlais rien. Il m’a dit que je n’avais pas besoin de voir ou de parler, juste à obéir. Il m’a ordonné de retirer ma culotte, soudain j’ai reçu un grand coup sur les cuisses. Je devais défaire mes chaussures et enlever mon collant avant de pouvoir retirer ma culotte, mais il a trouvé que je n’allais pas assez vite.
Ensuite, j’ai senti qu’il me mettait des bracelets aux chevilles et aux poignets, ainsi qu’un collier autour du cou. Il m’a obligée à écarter grand les jambes, précisant que je devais avoir au moins 50 cm entre chaque et que si je ne respectais pas cet écart, je serais punie. Pour bien me faire comprendre le message, il m’a mis un coup avec sa badine. Puis, sans autre préliminaire, il m’a introduit un œuf vibrant dans le vagin. Il a écarté mes grosses lèvres et a saisi mon clitoris entre ses doigts. Il a placé une pince dessus. Je serrais les dents en retenant mes larmes.
J’ai senti qu’il ouvrait mon chemisier. Il a sorti mes seins du soutien-gorge. Il les a tirés, tripotés, malmenés. Jusqu’à ce qu’il place des pinces sur mes tétons, je me suis cambrée. Ça pinçait horriblement fort. La douleur me vrillait les nerfs. Il m’a dit : « Tu dois obéir, obéir à tout, tout accepter. » Il a mis en marche l’œuf vibrant. Cela a eu un double effet. D’un côté je sentais la jouissance venir, et de l’autre la douleur qui me tiraillait. Je ne savais plus où j’étais. Soudain, le véhicule s’est arrêté, l’homme m’a remis mon soutien-gorge par-dessus les pinces. Il m’a fait descendre et m’a guidée. Je sentais la pince me mordre le clitoris à chaque pas. Il m’a poussée au milieu d’une pièce et a retiré mon bandeau. Monsieur était là avec deux autres hommes. « Danse », m’a-t-il ordonné.
Un homme est venu pour m’entraîner dans une drôle de valse. Il se plaquait contre moi ce qui accentuait la douleur au niveau des pinces. Je passais de bras en bras, au bord de l’évanouissement, les pinces bougeaient et s’écrasaient sur ma pauvre chair. J’imaginais que les bouts de mes seins s’allongeaient à f o r c e d’être triturés. Monsieur m’a demandé de faire un strip-tease. J’étais à la fois excitée et apeurée, car c’était la première fois qu’un autre homme que Stéphane ou mon médecin me voyait entièrement nue. J’ai tout de même commencé à me déshabiller. Monsieur m’a reprochée de ne pas être assez sexy. J’ai reçu un coup de badine et j’ai fait de mon mieux pour l’exciter.
Une fois le striptease terminé, il m’a demandée de m’asseoir sur une chaise, face à lui. Je l’ai fait… Malheureusement, j’ai oublié de maintenir l’écartement de mes genoux et j’ai reçu deux v i o l ents coups de badine de rappel. Puis, tirant sur mes pinces de seins, il m’a obligée à me mettre debout. Une fois debout, il a tiré sur mes pinces jusqu’à ce qu’elles cèdent.
Comme ton mari et Maître se réserve l’exclusivité de ton sexe, j’ai décidé de faire de toi une petite enculée soumise et obéissante. » Monsieur a fait admirer mes fesses aux autres hommes. « Hum, quel beau cul ! – C’est vrai que tu n’as jamais été prise par là ? »
Les hommes m’ont attachée sur une sorte de table basse. J’ai senti un doigt dans mon anus. On m’a enduite de gel ou je ne sais quoi. On me massait l’anus avec un doigt, puis deux. J’ai très vite senti le gland de Monsieur se présenter à l’entrée de mon cul. « Alors, cochonne, tu veux que je t’encule ? – Oui. – Oui qui ? – Oui, Monsieur. » Lentement, sa bite a f o r c é mon anneau. La douleur de la pénétration n’était pas aussi forte que je l’avais craint. Mon anus s’ouvrait sous sa poussée. Il s’enfonçait dans mes entrailles. Cela me faisait une drôle d’impression. Ce n’était pas désagréable, même si j’avais le sentiment d’être ouverte en deux.
Quand il a été enfoncé à fond dans mon conduit, il s’est mis à aller et venir en moi, doucement au début et de plus en plus vite, de plus en plus fort. « Vous allez voir les gars, comme c’est bon d’enculer un petit cul vierge et étroit ! » Monsieur a fini par éjaculer dans mon trou. Il s’est retiré de moi et, après m’avoir ôté mon bâillon, il m’a présenté son sexe pour que je le nettoie.
J’aurais bien voulu m’enfuir, mais en même temps, je me sentais dominée par sa volonté et ça me rendait bizarre. Il m’a attrapée par les cheveux et m’a obligée à lécher, puis à gober son sexe. J’ai essayé de me débattre, mais sa grosse main me tenait la tête. Peu à peu, j’ai englouti sa colonne. Toujours en m’agrippant par les cheveux, il m’a imposée un mouvement de va-et-vient. De son autre main, il me donnait une claque à chaque fois que je l’effleurais avec les dents et m’ordonnait de bien lui lécher le frein. Moi, je faisais de mon mieux. J’avais l’impression d’être devenue un animal obéissant aveuglement à son maître. J’avais les larmes aux yeux à chaque fois que son membre viril touchait le fond de ma gorge. Au bout d’un moment, il a accéléré la cadence, jusqu’à l’explosion finale.
Dans un ultime sursaut de révolte, j’ai voulu me dégager, mais c’est là que j’ai senti le premier jet de son jus dans ma bouche. Il m’a obligée à le recevoir jusqu’à la dernière goutte. Puis, il m’a ordonnée de l’avaler, ce que j’ai fait sans discuter. Par peur des représailles. Je pensais que c’était fini quand il a dit aux autres hommes de venir me prendre, précisant qu’il valait mieux le faire avant que Pierre, l’un des hommes présents, ne m’ouvre correctement le cul. Pendant plus de deux heures, les deux hommes ont usé de mon corps. J’avais mal au cul à cause du passage successif de leurs sexes.
Après avoir rempli quelques capotes..., la tension est retombée, j’étais épuisée. Monsieur m’a dit : « Maintenant, Pierre va t’élargir la rondelle. » Là, j’ai vu un homme nu venir vers moi, son sexe en érection était sans commune mesure avec ce que je pouvais imaginer. J’étais effrayée à l’idée que ce membre puisse entrer dans mon cul. Cette pensée me saisissait d’appréhension, ce devait être une arme redoutable, un véritable instrument de t o r t u r e .
J’ai senti le gland de Pierre passer entre mes fesses et venir buter sur ma rondelle élastique. Il s’est amusé un long moment, avant de me pénétrer de quelques millimètres d’un coup. Au lieu de sortir, il a continué sa poussée. J’ai hurlé quand son gland massif et épais a distendu mes sphincters. Mais la hampe était encore plus large, j’avais l’impression qu’il allait me déchirer. J’ai supplié qu’il se retire. Monsieur m’a dit : « OK. Mais tu devras être punie. » Pierre s’est retiré d’un coup sec. Les hommes m’ont détachée, mais immédiatement mes poignets ont été enchaînés et mes chevilles aussi. Je comprenais maintenant à quoi servaient les bracelets. Mes bras ont été levés vers le haut, tandis qu’on m’obligeait à écarter les jambes en tirant sur les chaînes.
Monsieur s’est positionné derrière moi et soudain il m’a frappé les fesses avec une large lanière de cuir.
Dans mes reins, je l’ai senti me détacher. Ils m’ont remise sur la table et là, Pierre s’est enfoncé en moi, d’un seul coup. Il est allé au fond de moi, déchirant presque mes chairs tendres. Il poussait toujours plus loin et, bientôt, ses couilles ont cogné contre mes fesses. Il s’accrochait à mes hanches et v i o l emment il m’a défoncé le cul. J’ai retenu mes cris, mes larmes, de peur d’avoir encore à subir le cuir. Pierre a joui dans son préservatif et s’est retiré.
J’avais l’impression que mon anus ne se refermerait jamais. Mon corps me brûlait. J’étais anéantie et mon anus, tout congestionné, restait dilaté, comme un puits béant où une bite normale aurait pu s’introduire sans même que je m’en aperçoive. J’étais là, dans la posture indécente où ils m’avaient mise. À ce moment précis, j’ai compris que Monsieur avait fait de moi ce qu’il voulait, je lui étais soumise.
Le lendemain, Monsieur dînait avec des amis. J’ai été attachée entièrement nue sur la table basse. J’avais les yeux bandés. Monsieur s’est approché de moi et m’a déclarée : « Ce soir, c’est pipe et sodomie à pas cher. Si le client n’est pas satisfait, tu auras droit à ta fessée. » J’ai très vite compris de quoi il s’agissait ! J’ai dû sucer des sexes que je ne voyais même pas. Certains disaient qu’ils n’étaient pas satisfaits de ma prestation, et les fessées pleuvaient.
Pendant ce temps, je ne devais pas m’arrêter de sucer, sinon les fessées recommençaient. Ça claquait plus ou moins fort. Souvent une queue dans ma bouche m’empêchait de crier. J’étais à bout de souffle. Les bites se relayaient dans ma bouche et dans mon cul. Plus rien n’avait d’importance, sauf faire plaisir et obéir à Monsieur. Ils parlaient entre eux. J’étais devenue leur jouet… Mais pas assez chienne d’après eux. Je ne suçais pas correctement selon leurs dires. Et pour bien me le prouver, l’un d’eux m’a obligée à le pomper langoureusement, avec application, en me maintenant la tête. Pendant ce temps, un autre me sodomisait. Je ne me cambrais pas assez, ça l’agaçait et il me le faisait bien comprendre en me claquant les fesses. Il me pinçait fortement les seins et me claquait de grands coups de queue bien profonds.
Je commençais à fatiguer, mais pas eux ! Je devais continuer, c’était Monsieur qui décidait, pas moi. Soudain, j’ai entendu Monsieur dire : « Pierre, c’est toi qui l’a ouverte, à toi de finir. » J’ai compris ce qui m’attendait. Il s’y est repris à deux fois avant d’entrer son gland en entier. Il faisait entrer et sortir son sexe, m’arrachant à chaque fois des cris incontrôlables. Il s’est vidé dans son préservatif au bout d’un moment et cela a cessé. On m’a retiré mon bandeau. Là, j’ai découvert une douzaine d’hommes autour de moi. J’étais fatiguée, exténuée, brisée… Mais heureuse quand Monsieur m’a caressée la tête et m’a félicitée.
La soirée était terminée. Je sentais surtout mon vagin qui était tout gonflé. Monsieur a obturé mon sexe avec un large sparadrap et j’ai dormi attachée au pied de son lit. Mais le plus humiliant arriva le dimanche matin. Monsieur m’a demandé de m’allonger sur un fauteuil inclinable, en posant mes pieds dans des étriers. Il a manipulé le fauteuil, ce qui m’a obligée à ouvrir grand les cuisses à demi-repliées. Pierre est venu, j’ai frissonné quand il a bouclé une large s a n g le sur mon ventre avant d’immobiliser mes chevilles et mes poignets. Il a d’abord coupé mon épaisse toison blonde avec de petits ciseaux, puis il a continué son ouvrage avec de la cire chaude. J’avais mal, mais je ne disais rien et quand il a eu terminé, il a promené ses doigts sur ma vulve entièrement lisse, comme celle d’une jeune fille.
« Fais-la jouir ! » l’a invité Monsieur. « Tu vas voir, elle va aimer ça, cette petite cochonne ! » Ces mots étaient humiliants, mais c’était pourtant la vérité. Mon sexe mouillait copieusement sous ses doigts. J’ai ouvert un peu plus les cuisses en soupirant quand il a titillé mon clitoris bien gonflé. J’ai rapidement joui, honteuse d’avoir cédé aussi facilement. Quand je me suis redressée, il m’a tendu un miroir entre les cuisses, j’ai découvert avec plaisir ma vulve épilée dont la fente semblait plus ouverte que jamais et mes grandes lèvres encore plus saillantes. Par contre mon anus faisait une ouverture qui me semblait encore énorme !
Avant de partir, Monsieur me remit un paquet à l’intention de Stéphane et m’a fait savoir que nous devrions peut-être nous revoir. Peu après, Pierre m’a déposée au même endroit que le vendredi soir. Je suis rentrée précipitamment à la maison. Mon mari et Maître Stéphane m’attendait dans le salon. Sans un mot, je lui ai remis le paquet. Dedans, il y avait le cuir, mon bâillon-boule, un DVD et un cadre photo.
Le lendemain soir, nous avons visionné ensemble le DVD car Monsieur Xavier avait filmé les moments les plus importants du week-end, et cela à mon insu. Depuis ce jour, de nouvelles règles ont été instaurées dans la maison. Je n’ai le droit de mettre que des robes ou des jupes, je ne porte plus que des bas. Quant à mes culottes, c’est string ou culotte fendue… Ou alors rien sous mes jupes ! Mon mari et Maître a simplement mis en application le cours de bondage et de dressage qu’il a suivi pendant ce fameux week-end. J’adore être la chose de mon Maître, j’aime qu’il me soumette, qu’il m’avilisse. J’ai toujours du mal avec la règle des 50 cm entre les genoux, mais il n’oublie pas de me la remettre en mémoire grâce au cuir qu’il a toujours sous la main et dont il ne manque pas de se servir.
Je ne pense pas qu’une deuxième rencontre avec Monsieur Xavier soit prévue. Je sais que mes propos vont peut-être choquer certaines personnes, mais cela a été fait de façon saine et dans le respect de l’autre. J’ai appris qu’il existait un accord entre Stéphane et Monsieur stipulant que la séance pouvait être immédiatement stoppée pour mon intégrité morale ou physique et même si Monsieur m’a poussée à l’extrême, je pouvais interrompre la séance à tout moment. C’était l’accord qu’il y avait entre Stéphane et Monsieur. Bien sûr, je n’ai su cela qu’après ma formation…
Virginie
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